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Semi-marathon de Paris : quatre coureurs engagés aux côtés de SOLIDARITÉS INTERNATIONAL

Publié le mercredi 20 janvier 2016

Le semi-marathon de Paris partira le 6 mars, faisant concourir 40 000 participants dans une boucle exceptionnelle entre le Bois de Vincennes et le cœur de Paris. Ayant la possibilité de courir pour une association, certains ont choisi de soutenir et de récolter des fonds pour SOLIDARITÉS INTERNATIONAL, comme Hugo, Margot, Victoria et Federica. Rencontre avec nos quatre coureurs.

Pouvez-vous vous présenter rapidement ?

Hugo : J’ai 23 ans, je suis étudiant et maintenant en stage de fin d’études à SOLIDARITÉS INTERNATIONAL. Je viens de la banlieue parisienne et j’ai fait la plupart de mes études à Lille. Je ne suis pas très difficile dans mes passe-temps, tant que je peux cuisiner, écouter du rap, jouer au billard et à la belotte coinchée.

Margot : J’ai 33 ans et je suis originaire de Nîmes. Je vis et travaille à Paris depuis un peu plus de 10 ans maintenant. En 2015, j’ai fait une parenthèse de vie. J’ai vécu à Milan en Italie pendant une année. Actuellement, je travaille en communication, dans l’agriculture et de l’agroalimentaire. C’est un secteur qui me passionne et qui recoupe selon moi des enjeux extrêmement importants et mondiaux.

Victoria : J’ai 29 ans, je travaille dans la publicité en production. Je suis originaire du sud de la France et j’habite Paris depuis 10 ans bientôt. Je suis une passionnée de photo, de voyage, de plongée sous-marine.

Federica : Je suis étudiante en deuxième année en Droits de l’Homme et Action Humanitaire à Sciences Po Paris. Je viens de terminer un stage avec SOLIDARITÉS INTERNATIONAL et j’aimerais travailler avec l’ONG sur le terrain après mes études. Je suis très engagée envers les causes humanitaires d’accès à l’eau potable et aux soins médicaux, notamment dans les contextes de réfugiés.

 

Vic-hugo-federica-margot

Quelle est votre expérience de course à pied ?

Hugo : J’ai couru l’automne dernier le semi-marathon de Lyon, en 1h57. C’était bien stylé ! La vérité, je ne suis pas un fan de course, mais j’aimerais bien un jour tenter un Iron Man, juste comme ça, pour dire que j’en ai fait un, sans trop chercher la performance. Du coup, il faut bien que je commence quelque part. Là mon but, c’est de le faire en moins de 1h45, ça va être un peu tendu, mais j’y crois.

Margot : Au lycée, l’endurance était une activité qui me motivait. j’ai toujours aimé courir sans pour autant en faire une activité sportive régulière. Ma vie à Paris et le plaisir partagé avec des amis pour la course a crée petit à petit le bon terrain. L’an passé à Milan, j’ai couru plusieurs courses de 10 km sous 40 dégrés. Rude…mais il s’agissait d’un engagement en équipe donc nous avons tous tenu bon!

Victoria : Je ne suis pas une athlète du tout ! J’ai toujours aimé courir mais je n’ai commencé les courses qu’il y a quelques années. J’aime participer aux 10 km de Paris chaque année et j’ai le fantasme de courir un jour le marathon de New York. En termes de distance, 10 km est mon maximum donc mon objectif sur le semi est avant tout de le finir !

Federica : Je n’avais pas une expérience incroyable en course à pied avant de m’engager pour le semi-marathon en mars. J’ai commencé à courir il y a quelques années mais jamais de manière très régulière. J’ai réussi à finir quelques courses de 10 km, mais c’est de loin ma plus longue distance pour l’instant ! Je n’avais pas couru depuis longtemps quand j’ai commencé à m’entraîner, mais j’ai téléchargé une application qui me « coache » pendant 3 mois.

Pourquoi avez-vous décidé de faire le semi-marathon pour SOLIDARITÉS INTERNATIONAL ?

Hugo : De base, je voulais faire ce semi-marathon. Puis, j’ai été pris en stage à SOLIDARITÉS INTERNATIONAL, et j’ai eu vent de l’opportunité de courir pour « nous ». L’occasion était bonne pour joindre l’utile à l’agréable. Lever des fonds et donner de soi pour une cause qui me tient à cœur, c’est plutôt chouette comme principe, non ?

Margot : Je suis quelqu’un de plutôt engagée et je m’investis dans différentes causes. Je connaissais SOLIDARITÉS INTERNATIONAL, les valeurs et engagements de  recoupent mon secteur d’activités. Courir le semi-marathon pour cette association fait pour moi doublement sens! Je suis très contente de courir pour un but collectif.

Victoria : Je suis comme beaucoup de personnes je pense, pas vraiment attachée à une association mais quand je peux donner je me rapproche d’une organisation qui s’engage dans les combats qui me tiennent à cœur. Aider à la réalisation de missions à l’international sur des enjeux aussi indispensables et fondamentaux que l’accès à l’eau, l’hygiène, la santé, me semble être une bonne raison de courir.

Federica : Pour soutenir une ONG qui fait un travail remarquable pour des personnes vulnérables ! J’ai travaillé pour SOLIDARITÉS INTERNATIONAL pendant 6 mois ; l’engagement, le cadre de travail et les valeurs m’ont convaincu de courir les 21 km pour soutenir l’association. Elle le mérite !

La collecte de fonds se termine le 20 février. Où en êtes-vous et comment parvenez-vous à collecter ?

Hugo : J’ai réussi à récolter les deux tiers des 500 euros. Je pense y arriver avant la date limite. J’en parle à mes amis, un à un, je les convaincs. J’ai aussi la chance d’avoir le soutien de la famille. Cette collecte est un exercice rigolo, et je peux en même temps faire la promotion de SOLIDARITÉS INTERNATIONAL, c’est plutôt chouette. Aidez Hugo à terminer sa collecte.

Margot : Je n’ai absolument pas terminé en raison de mon retard dans l’inscription. Il me reste une petite semaine et je dois collecter encore 400 euros. Je compte vraiment sur votre aide pour me faire parvenir à ce montant. Aidez Margot à terminer sa collecte.

Victoria : J’ai terminé ma collecte le 10 février, mais vous pouvez toujours continuer à faire des dons sur ma page pour aider SOLIDARITÉS INTERNATIONAL a mettre en place ses interventions humanitaire.

Federica : J’étais un peu angoissée au début, mais il n’a pas été si difficile d’obtenir les 500 euros requis pour s’inscrire. J’ai eu la chance d’avoir beaucoup de soutien de ma famille et de mes amis ; même des amis d’amis ont donné ! Je trouve plus efficace de parler en personne à son entourage plutôt que de ne collecter uniquement sur les réseaux sociaux. Toutefois, j’utilise beaucoup Facebook pour partager des actualités et des images qui montrent le travail de SOLIDARITÉS INTERNATIONAL et les populations auxquelles l’association vient en aide.